L’avènement des nouvelles technologies ces dernières années a créé de nouvelles vocations à travailler dans le domaine de l’informatique. La demande croissante pour des compétences techniques a ainsi favoriser l’activité des informaticiens qui préfèrent souvent se mettre à leur compte pour plus de flexibilité. Cependant, dès lors que l’on souhaite devenir freelance, une multitude de questions viennent à se poser quant au statut à choisir. La France, championne du monde en matière de complication du droit du travail, ne facilite d’ailleurs pas la tâche. Heureusement, l’équipe de JL Portage vous a préparé un petit article afin d’y voir plus clair, le tout basé sur notre expertise ainsi que les années passées à travailler main dans la main avec nos informaticiens portés.
Créer sa propre société ? Si on adore l’administratif !
Si vous êtes seul, et que vous souhaitez travailler en freelance, nous déconseillons fortement la création d’une entreprise dont l’administration est très lourde. Celle-ci aura pour conséquence de vous faire passer plus de temps à remplir de la paperasse plutôt que de vous concentrer sur votre métier. Parmi les désavantages connus, on note les suivants :
Des frais de constitution
Un stage de gestion obligatoire
Des frais annuels d’assemblée générale
Des risques de contrôle fiscal
Des risques de contrôle URSSAF
La responsabilité du Dirigeant sur ses Biens Propres en cas de Faute de Gestion
Contribution au RSI
Et si tous ces inconvénients ne se retrouvent pas dans le cas d’une SASU, la majorité en tout cas, en font partie.
Devenir auto-entrepreneur ? Plus avantageux mais avec ses limites…
Le statut de l’auto-entrepreneur a beaucoup évolué au cours de ces dernières années. Aujourd’hui il comporte également de nombreux inconvénients similaires à ceux lorsqu’on souhaite créer sa société :
Un plafond de chiffre d’affaires, qui, s’il est dépassé, peut amener à un redressement fiscal
Payement de la Responsabilité Civile Professionnelle (RCP)
Payement de la Contribution Foncière des Entreprises (CFE)
Risques de contrôle Fiscal
Risques de Contrôle URSSAF/RSI
La responsabilité du dirigeant sur ses biens propres si faute de gestion
Un délai de création en début d’activité
Contribution au RSI
Et le portage salarial ? Plus maintenant…
Avant il y avait le portage salarial, une alternative solide aux statuts traditionnels. Mais ça, c’était avant. Depuis le 1er Juillet 2017, date de la mise en application de la convention collective sur le portage salarial, ce statut est désormais apparenté à de l’intérim. La rigidité de cette convention a mis à mal les entreprises informatiques qui avaient pour habitude de faire appel à des portés en portage salarial. Aujourd’hui ces entreprises ne peuvent pas mandater un porté si :
elles disposent déjà des compétences requises à l’accomplissement de la tâche souhaitée en interne,
la durée de la prestation excède trois mois consécutifs,
le salarié porté a exercé plus de trois ans au sein de la même société.
Et pour l’informaticien freelance quels sont les inconvénients ?
Un minimum de 6000€ de chiffre d’affaires à réaliser par mois
L’impossibilité de travailler plus de 3 ans avec le même client
Le portage entrepreneurial ? Plus récent et plus adapté !
Le portage entrepreneurial est le statut le plus récent, il a été créé par Josette Londé, la directrice de JL Portage et est aujourd’hui utilisé par de nombreuses sociétés en France. Sa notoriété est grandissante, et pour cause, il vient pallier aux manques et compenser les inconvénients des statuts traditionnels. En cela, il est particulièrement simple et efficace pour toute personne souhaitant se lancer en activité, sans contraintes de chiffre d’affaires à réaliser ou de plafond à ne pas dépasser. Si vous souhaitez savoir plus en détails quelles sont les différences entre portage salarial et portage entrepreneurial, nous vous invitons à aller lire notre article.
Alors pourquoi est-ce qu’on aime tant le portage entrepreneurial chez JL Portage ? La réponse dans les éléments suivants :
Aucun minimum ni plafond de chiffre d’affaires
Pas de frais de création de société
Si vous ne faites pas de chiffre d’affaires, vous n’avez pas de charges
Vous pouvez démarrer en 48 heures
Vos frais professionnels sont réintégrés
Vous bénéficiez de la Sécurité sociale salariée au lieu du RSI (SSI)
Vous recevez un bulletin de paie
Vous ne payez ni CFE et n’avez pas de RCP à souscrire
Aucun risque de contrôle fiscal ou social
Et le meilleur dans tout ça, c’est que si vous êtes en portage entrepreneurial, vous êtes également éligible à un produit vous permettant d’optimiser vos charges sociales. Cela peut vous permettre de récupérer jusqu’à plus de 80% de vos revenus en net. Ce produit s’appelle JLPLUS® et il est disponible en exclusivité chez JL Portage.
Vous souhaitez passer au portage entrepreneurial ? Contactez-nous !